Une personne effectuant une activité salariée ou non, au moins une fois par semaine dans un pays étranger, est considérée travailleur frontalier si le domicile habituel de celle-ci se trouve dans un autre pays, dans la zone frontalière (généralement environ 30 kilomètres de la frontière, variable selon les pays) du pays où l’activité est exercée. Ce statut peut être plus précis selon certaines conventions, règles établies entre les pays. Droit du travail, chômage, droit fiscal… qu’engendre la différence des pays ?